Toute ma vie, j’ai vu mourir. Les gouvernements ont beau changer… C’étaient toujours les mêmes fusils!

Toute ma vie, j’ai vu mourir. Les gouvernements ont beau changer… C’étaient toujours les mêmes fusils!
A chaque époque il y a des gens qui ne pensent pas comme tout le monde, c’est à dire qui ne pensent pas comme ceux qui ne pensent pas.
Les premiers mots
Lire la suiteDans un volume destiné à former avec celui-ci les deux panneaux d’un diptyque, j’ai essayé d’évoquer un couple de la Belle Époque, mon père et ma mère, puis de remonter au-delà d’eux vers des ascendants maternels installés dans la Belgique du XIXe siècle, et ensuite, avec plus de lacunes et des silhouettes de plus en plus linéaires, jusqu’au Liège rococo, voire jusqu’au Moyen-Âge.
– Tu sais, je doute, Syd.
– T’as toujours douté, Charlie. Enfin, sauf dans les moments où t’es absolument sûr de toi, c’est-à-dire 90% de ton temps.
Cette langue de terre américaine sera mon foyer pour les cinq prochains mois. Le compte à rebours a déjà commencé.
Mais mieux vaut ne pas y penser.
Je vis! Et que les racistes le sachent, je vis et je vivrai. Et je tiendrai. Il me suffit qu’ils le sachent. (Christiane Taubira)
Les premiers mots
Lire la suite« Ain’t I a woman? »
Ne suis-je pas une femme?
Des mots intemporels clamés il y a presque deux siècles, surgis d’un corps qui fut asservi, des profondeurs d’une âme devenue irréductible, de l’esprit indompté d’une femme debout, noire et fière.
Charleville-Mézières et Frédéric Rimbaud ont au moins un point commun: une mauvaise réputation.
Lire la suiteLes premiers mots
Y aura-t-il de l’orage aujourd’hui? Le Courrier des Ardennes et Le Petit Ardennais avancent des « risques importants ». Ça n’empêche, depuis l’aube, tous ils attendent, au pied des cafés, sur les terrasses déjà dressées, bras croisés, visages impatients.