Jamais sans mon Steinbeck

À chaque mois son thème…

Neuvième mois et neuvième rendez-vous pour notre fantastique challenge Les Classiques c’est fantastique. Nous nous étions quitté.es en 2022 avec l’Appel du Grand Nord et son échappée dans les grands espaces. Pour débuter 2023, il fallait du lourd et la figure de John Steinbeck a été toute trouvée. Vous avez répondu présent.es avec tout l’enthousiasme que l’on vous connait et ce n’est pas moins qu’une vingtaine de billets que nous avons recensés.

John Steinbeck a publié 27 livres tout au long de sa carrière, le choix était donc varié et les billets en son honneur montrent toute la diversité dont il a fait preuve.

Ses premiers romans

Les Pâturages du Ciel est le deuxième livre publié par l’auteur (le premier « La Coupe d’or » n’a rencontré aucun succès éditorial) et nous pouvons retrouver un avis chez Moka. C’est ensuite chez moi que l’on retrouve une de ses anciennes publications, Au Dieu Inconnu.

Les premières récompenses

C’est avec Tortilla Flat que l’auteur recevra un premier prix, la médaille d’or du meilleur roman écrit par un Californien décernée par le Commonwealth Club of California. Si je n’ai pas été spécialement séduite par ce titre, Moka et Alice ont apprécié leur lecture.

Le drame au cœur de ses récits

Avec les romans suivants, l’auteur commence à écrire des œuvres jugées plus dramatiques. En 1936, il publie Des souris et des hommes. Le roman a été lu par Fanny (Dans le Manoir aux Livres) tandis que Moka, Katell et Paolina se sont tournées vers la splendide adaptation de Rebecca Dautremer. La même année, John Steinbeck publie En un combat douteux, livre lu par Pati. L’ourse bibliophile et Un livre, un thé ont présenté le grand roman Les Raisins de la colère publié en 1939. La Perle, roman aux allures de parabole, a été présenté par Lily et par Patrice. À l’Est d’Eden, grand roman qui ne pouvait pas ne pas retrouver dans ce bilan, se retrouve chez Céline, Mag et Madame Lit.

Des personnages récurrents

Dans deux de ses romans, nous retrouvons les mêmes personnages. Natiora et Moka (Rue de la Sardine publié en 1945 et Tendre Jeudi, publié en 1954) ont fait un joli doublé en présentant les deux œuvres. Pour sa part, Lily a présenté Rue de la Sardine.

Le dernier roman

C’est Natiora qui présente Une Saison amère, le dernier roman de l’auteur

Non-fiction

L’auteur est aussi connu pour ses textes relevant du genre de la non-fiction. Nous pouvons toujours compter sur les choix singuliers de Lolo qui a déniché Un Américain à New-York et à Paris, titre édité en 1954 et qui n’a plus jamais été réédité. Lilly a lu Jours de travail, journal dans lequel l’auteur relate son travail d’écriture concernant son roman Les Raisins de la colère.

Merci à toutes et à tous pour vos billets qui parcourent (presque) toute l’œuvre de ce grand auteur. Si certain.es hésitent encore à lire ses œuvres, sachez que le 02 mars Steinbeck fera son entrée dans la Pléiade.

Nous nous retrouverons fin février pour le thème « Les couples littéraires » et on lira pour l’occasion des histoires de couples célèbres, correspondances amoureuses entre auteurs et autrices et des titres qui impliquent des couples d’écrivain·es connus…

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